Captivé par les animaux et aussi par les chromos les montrant, il nourrit le rêve de réaliser plus tard de semblables images, celles qui font voyager, loin parfois.
Plus tard, la rencontre avec Raymond Macherot, alors jeune auteur, puis avec d’autres professionnels, le confortent dans ce qui est devenu une vocation : l’illustration.
Après plusieurs ouvrages, dont certains lui valent des distinctions, notamment en Belgique, France, Tchécoslovaquie (à l’époque, encore une seule nation) et Québec, il rencontre son ami l’elficologue Pierre Dubois avec lequel il collaborera tant en illustration qu’en bande dessinée: « Laïyna, la Forteresse de pierre » et « le Crépuscule des elfes ». Ce qui lui insuffle le virus du récit en images.