Série : I.R.$
Auteur : Desberg & Vrancken & Coquelicot
Prix : 9,80 €
Date de sortie : 01/05/2006
Nombre de pages : 48 pages couleur
Catégorie : Thriller
Type de reliure : Album cartonné
Éditeur : Le Lombard
Collection : Troisième vague
Publié le 21/08/2006 |
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Jusqu’où un homme peut-il aller pour mettre les siens à l’abri ?
L’enquête la plus personnelle de Larry B. Max approche de son dénouement. En effet, il ne lui reste plus que quelques heures pour empêcher l’homme qui a ruiné sa famille et menacé les siens d’accomplir son ultime forfait. Le diabolique Johnny Madsen s’apprête à porter un coup fatal au pouvoir saoudien et à mettre les voiles avec le bénéfice des barils de pétrole dont le prix ne manquera pas de décupler.
Cette fois, Larry B. Max joue le sens de sa vie et celle de son unique amour, Gloria Paradise.
Cap sur une série : IRS
Comment trouver un inspecteur du fisc attachant ? En lisant IRS ! Larry B. Max, inspecteur de l’IRS est tellement sexy que la perspective d’un contrôle fiscal devient un rêve! En plus, sa vie sentimentale est un tel fiasco qu’il en est réduit à appeler le téléphone rose en la personne de Gloria Paradise lorsqu’il a envie de parler… Pathétique !
D’enquête en enquête, nous sommes suspendus aux lèvres de papier des personnages. Un album d’IRS ne se lit pas, il se dévore !
Avec Larry, nous découvrons d’abord les horreurs de la fin de la guerre ’40-’45, ensuite les lois sanguinaires des cartels puis les régimes totalitaires corrompus avant d’arriver plus récemment sur le passé de Larry et le monde du pétrole. Entre convoitises, orgueil et corruption, Larry B. Max rétablit l’équilibre, sur fond d’écran de cinéma et d’une actrice particulièrement charmante... Le dernier épisode, la Guerre Noire, nous permet de revenir sur le passé de Larry, ses origines mises sous le signe du cinéma et de découvrir le passé glorieux de celle qui deviendra la confidente attitrée de Larry, Gloria Paradise.
Comme d’habitude l’intrigue est excellente et le bel inspecteur aux cheveux blancs plus sexy que jamais. On vibre avec lui et découvre son existence avec passion. Le plus horrible avec IRS, c’est qu’après 48 pages terriblement prenantes, il faut un an de patience avant de lire la suite. A dévorer !
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