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La Malédiction du Gardien de la Pierre - Amulet (tome 2)
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La Malédiction du Gardien de la Pierre Série : Amulet

Auteur : Kazu KIBUISHI

Prix : 13€

Date de sortie : 17/09/2009

Nombre de pages : 224 pages couleurs

Catégorie : Fantastique

Type de reliure : Album broché

Éditeur : Akiléos

Lien spécifique : http://www.akileos.com

Publié le 27/08/2009


Dans cette suite passionnante, Emily et son frère Navin se rendent à Kanalis, une magnifique et mystérieuse ville de chutes d’eau, où ils espèrent trouver l’antidote au poison qui a mis à mal leur mère. Ce remède se trouve dans les oeufs d’un serpent géant au sommet de la Montagne à la Tête de Démon, mais les enfants de l’ennemis juré, Trellis, sont également en chemin pour le sommet.
Une bataille qui va embraser l’ensemble de Kanalis se profile. Ce sera à Emily de triompher du mal, à condition de conserver le contrôle de l’amulette du pouvoir... sans se perdre elle-même.



Dois-je vraiment répéter ce que j’ai dis dans la critique du premier volume ?
En résumé, je disais que l’histoire était formidable et vraiment bien gérée par un Kazu Kibuichi au plus haut de sa forme et pareil pour le dessin que je trouve débordant de magie avec un trait donnant l’impression que vous êtes en train de regarder un très beau film d’animation. Et bien que dire de ce deuxième tome si ce n’est que c’est encore aussi beau et passionnant voir encore mieux ! On sent derrière cette histoire que Kazu Kibuichi a bien réfléchi à l’avance au bon déroulement de son scénario et qu’il a du passer des heures à préparer et plancher sur le story-board pour obtenir cet excellent résultat. Comme dans le premier tome rien ne nous échappe, Kazu Kibuichi s’arrange toujours pour que le lecteur ne se pose pas de question et retourne en arrière à cause d’un détail qu’il aurait oublié. L’auteur développe son histoire intelligemment afin de nous happer dans ce monde fantastique où tout est à découvrir et lire le livre d’un coup sans pause.
Une chose que je n’ai pas dit dans la première critique et que j’adore, ce sont les pages en une image où l’auteur nous offre des paysages magnifiques d’un trait simple et pourtant fort précis renforcé par une colorisation avec des couleurs très bien choisies.
Kazu Kibuichi a su tirer profit de ses origines japonaises, de l’expérience du comics et du cinéma américain ainsi que de la bd franco-belge qu’il a du surement explorer, pour prendre le meilleur de tous ces styles afin de créer cette histoire qui touchera tous les publics.
Désormais grâce à ce titre et aux éditions Akileos, sans qui je n’aurais jamais découvert Kazu Kibuichi, je m’intéresse de plus près à cet auteur au talent et à l’imagination foudroyante et c’est avec une grande impatience que j’attend la suite de ce chef d’œuvre qu’il faut compter dans les grands classiques inévitables de la bande-dessinée!

 

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